L'exemple d'une cloison récente
posée sur une dalle béton ancienne est dégradée par l'évolution des sels. Celle-ci ne peut recevoir en l'état ou sans précautions aucun parement correct durable.
Ce problème aurait pu être évité en créant une semelle adaptée préalablement à l'élévation de la cloison.
Cette cloison remise en état récemment est dégradée au-dessus de la frise. La remise en état précédente comprenait en bas du mur une feuille de plomb qui avait empêché la sortie des sels.

Les sels présents
à cette hauteur n'ont pas été appréciés ni mesurés, ils ont traversé le papier peint rapidement.Réhabilitation complète de l'habitation,
le mur intérieur est exposé à la remontée capillaire. Le rejointoiment récent à la chaux hydraulique réalisé sans prendre les sels hygroscopiques en compte:
Les joints neufs se dégradent à cause des sels, le carrelage noir neuf est sans cesse couvert de fines de mortier qui tombent des joints, tous les jours.
Cette église était en cours de remise en état,
les sels sont présents et mesurés (par moi-même, personne n'y pensait) à 7,60 mètres de hauteur. Il faut bien comprendre que cette hauteur est "obtenue" après environ deux ou trois générations de réfections d'enduits des bas de murs, répétant la même erreur et déplaçant à chaque fois l'accumulation des sels hygroscopiques.